Dans les villes,
il y a un lieu qui nous appartient encore : la rue.

Au silence de plomb,
on préfère imposer nos rythmes et notre musique.

Ils ont rasé des forêts et construit des murs,
on les a repeints à notre image.

On ride la street
comme on marche dans la ville.

Au dessin des boulevards pollués,
on préfère la géométrie des toits où l’on développe notre propre oxygène.

Encore faut il avoir le courage de se lancer.
MAKING OF






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